Bedford : jeudi 20 janvier 2022 – Le Groupe d’étude du lac Champlain et de la rivière Richelieu s’est penché sur les solutions potentielles aux inondations dans le bassin versant et tiendra, le 8 février, deux rencontres publiques virtuelles pour présenter ses principales conclusions. Ce groupe d’étude fut créé à la suite des inondations de 2011 par la Commission mixte internationale (CMI), l’organisation chargée de la gestion des eaux transfrontalières entre le Canada et les États-Unis.
Deux réunions en français et en anglais simultanément
Ces deux réunions se tiendront avant que le groupe d’étude ne remette son rapport final à la CMI. La période pour recevoir les commentaires du public sera ouverte jusqu’au 4 mars 2022. Le contenu des deux réunions sera le même et disponible en français et en anglais, permettant ainsi de rejoindre les communautés des deux côtés de la frontière. Les participant.es pourront écouter et participer dans la langue de leur choix.
Voici les liens pour vous inscrire aux rencontres publiques.L’inscription préalable est requise pour y participer.
- Rencontre publique LCRR le matin du 8 février 2022
Quand: Fev 8, 2022 10:00 AM heure de l’est (US & Canada)
https://us06web.zoom.us/meeting/register/tZYuceyqpjIjGNYCXYzEs_ByE9gAsVz1wkxM - Rencontre publique LCRR en soirée le 8 février 2022
Quand: Fev 8, 2022 07:00 PM heure de l’est (US & Canada)
https://us06web.zoom.us/meeting/register/tZMpdO6grT8pE9B0cO4Z4op71ob6K79bjK-L
Inondations de 2011 : un sujet de plus en plus documenté
Les inondations de 2011 ont fait l’objet de plusieurs rapports et de consultations publiques. Le 22 décembre dernier, la CMI publiait son dernier rapport sur le stockage des eaux dans le bassin versant. En mai, c’était un rapport sur les solutions potentielles de nature structurelle pour aider à diminuer le niveau d’eau lors des crues.
Il semble que les avenues les plus prometteuses soient du côté des solutions structurelles. Des interventions visant à ramener le profil naturel du lit de la rivière Richelieu pourrait permettre d’importants gains du côté des niveaux d’eau maximums.